Je suis fatigué en ce moment, j’ai du mal à dormir. Je me dis que demain, je vais commencer mon premier jour de travail et que je serai surement dans la même pièce que Seo Ok, cette pensée me faisait du bien, me dire que tous mes efforts allaient devenir une réalité et qu’enfin je pourrai accomplir ce que je voulais vraiment. Je fila directement à la douche puis descendit en peignoir me faire du riz pour mon petit déjeuner. Bien qu’il ne soit pas tard, mes parents étaient partit bosser à la librairie qu’ils tenaient tous les deux. Même si ils auraient voulut me voir terminer mes études de Kiné, ils m’encourageaient dans mon envie d’entrer dans le monde des stars au sein de la prestigieuse JRM. Je fila donc m’habiller après avoir séché mes cheveux quand j’entendit quelqu’un sonner à la porte. A cette heure ci, sans avoir prévenu avant ça ne pouvait être qu’elle et un petit sourire apparut sur mon visage.

Elle c’était Nam Mi Hae, surnommée Baby N. J’aime pas trop ce pseudonyme alors je préfère l’appeler par son véritable prénom que je suis l’un des rares à connaitre. Puis, nous avons grandit ensemble, d’abord elle était deux niveau au dessus de moi mais à force de redoubler on avait finit dans la même classe bien qu’on était déjà ami avant. De deux ans mon ainée, j’admirais vraiment Mi Hae, elle n’avait pas grandit dans un environnement stable et pourtant elle avait réussi et elle faisait ce qu’elle aimait. Je me dirigea vers la porte d’entrée et ouvrit, c’était bien elle et en guise de bonjour j’eu le droit à un bisou sur la joue. Non je n’étais pas surpris, elle était toujours comme cela avec moi. Comme d’habitude, elle ne prit pas le temps de me dire bonjour et m’annonça qu’elle avait des tas de choses à me raconter tout en entrant dans le salon. Elle voulait un massage et le sourire que j’esquissa lui prouva que c’était d’accord bien qu’elle savait que j’essayait toujours de lui faire plaisir. Je me contenta de lui dire avec douceur.

« Ah ba entre alors, tu me raconteras tout ça, tu veux boire quelque chose? »

Ell s’installa dans le fauteuil, elle état vraiment sexy habillée comme ça, j’adorais cette fille en vérité. Ma meilleure amie et de loin bien que tout nous oppose. Elle est direct alors que je suis du genre à tourner autour du pot, belle contrairement à moi, elle plait aux sexe opposés, tout mon contraire et enfin elle est populaire, tout le monde connait Baby-N à Séoul. A partir du moment ou ces gens vont en boite. Elle me parla alors de son expérience de la veille, que son amant d’un soir avait été divin et qu’elle regrettait de ne pas en trouver beaucoup dans le même cas.

« Tu l’as dégagée comment celui la? Le classique seau d’eau sur la tête avant de balancer ses vêtements sur le pallier? »

Je connaissais très bien mon amie et sa manière d’agir, je ne la jugeais pas, je trouvais qu’elle avait raison d’extérioriser ses sentiments et de vivre sa vie comme elle l’entendait. Elle me demanda alors si je ne voulais toujours pas coucher avec elle. Tiens elle n’avait pas bu aujourd’hui, elle était plutôt direct. Enfin ce n’était pas la première fois, j’éclata de rire et répondit.

« Quand on était en primaire, je voulais être ton amoureux et tu avais préféré Liam Bom parce qu’il avait volé le camion Barbie de sa petite sœur pour te l’offrir. Tu m’avais brisé le cœur ce jour là ! Puis tu sais que je suis le seul homme qui t’aime pour ce que tu es et non pas pour ce que tu donnes. On aurait fait un beau petit couple ! La belle et le clochard made in Seoul. »

Elle me fit une remarque qui n’était pas fausse, étant donné sa beauté et son charisme ainsi que son âge, elle avait du avoir de nombreux amants et le fait que je n’es jamais fait quoi que ce soit avec une fille était peut être un handicape. Ou peut être pas, je devais la voir agir pour ça.

« Tu veux pas m’expliquer la Théorie plutôt? Puis je sais rouler des patins, grâce a toi. Le nombre de fois ou je suis venu te chercher à la sortie des boites parce que t’était complètement raide et que tu ne faisais que me rouler des pelles sur le chemin. C’était marrant quand j’y repense. Je serai presque nostalgique. Après…Tu as peut être raison sur le fait qu’elle doit aimer les hommes expérimentés. Je sais pas trop en faite. »

Elle vint me caresser le visage, elle faisait toujours cela de manière très féminine et de façon féline pour au final faire une grimace avec ma bouche. Elle était vraiment mignonne quand elle était comme ça, au naturel. Elle me demanda ce que je lui trouvais, se comparant à elle. J’esquissa un sourire et lui prit les mains.

« Tu es surement mieux qu’elle, tu es une fille extraordinaire et je t’aime. T’es ma little sister. Tu représentes tout ce que je n’aurai jamais et je préfère rester ton confident que finir à poil sur ton balcon. »

J’éclata de rire faisant référence à certains de ses anciens amants qui avaient essayés de se montrer violent quand elle les avaient fouttut dehors. Si je me moquai d’elle? Pas du tout, Je n’avait cessé de l’aimer depuis la primaire et je n’étais pas du genre à concrétiser mes rêves, préférant rester dans l’utopie. Pour Seo Ok c’était différent, j’avais envie de tenter ma chance je n’avais rien à perdre. Si je perdais Mi Hae je me serai sentit comme dénué d’une partie de moi-même ce qui expliquait pourquoi je n’avais jamais rien tenté.

Elle me demanda alors de la masser, s’étirant sur le fauteuil et se mettant dos à moi. Je vint derriere elle et posa me mais sur ses épaules. Wow le décolleté… elle avait destinée cette tenue sexy à son amant du soir ou bien à moi dans l’optique que j’allais la masser? J’esquissa un sourire quand elle me demanda delui parler de Seo Ok mais lui répondit avant.

« Tu met jamais de soutient gorge quand tu viens me voir? Me dis pas que t’as plus rien à te mettre, j’ai assez fait les magasins de lingerie avec toi pour savoir que tu en as des tonnes, tous plus sexy les uns que les autres. »

Je posa mes mains sur ses épaules, baissant un peu son chemiser afin d’avoir accès à ses épaules. Elle savait que je ne cherchai pas à mater mais simplement que masser avec des vêtements ne servait à rien. De toute manière je l’avais descendu au dessus de sa poitrine et même si avec son décolleté j’avais clairement une vue parfaite sur ses attributs je m’efforçais de ne pas regarder et de la masser. La détendant doucement.

« Dis donc ta plein de nœuds, tu es stressé en ce moment? »

Je les défit un à un avec douceur et parfois avec plus de force quand ceux-ci me résistaient puis je lui parla de Seo Ok.

« Tu sais je la connait pas plus que ça. Juste que j’ai flashé sur elle au premier regard. Demain j’ai mon entretient d’embauche avec elle. On m’a dit qu’elle était très spéciale et que ses secrétaires ne tenaient pas plus de deux mois. Assez joueuse apparemment mais personne ne m’a expliqué de quelle manière. Elle a trente ans et une plus grosse poitrine que la tienne. Enfin elle met peut être des sous tifs rembourré, je suis pas un pro des nibards. »

Oui nous avions beaucoup de complicité et aucun sujet n’était tabou pour nous. Je la respectait énormément c’est pourquoi je détournais toujours le regard quand elle décidait de se changer devant moi. Pudique? Ah non elle ne l’était pas du tout, c’était carrément le contraire. Si son côté croqueuse d’homme de dérangeait? Je savais tout d’elle et je savais que ses parents ne l’avaient pas aider à croire en l’amour mais plutôt en la tromperie et la méchanceté. Elle avait une vision du couple assez pessimistes et même si elle voyait que tout allait bien entre mes parents, elle ne pouvait pas vraiment le croire. Je continuait à lui masser les épaules puis le haut du dos. Sa peau était douce et démontrait toute l’attention qu’elle lui portait. Je me demandais comment était celle de Seo Ok. Après tout elles se ressemblaient beaucoup, c’était peut être ce désir refoulé vis-à-vis d’elle qui m’avait poussé à tomber fou amoureux de la directrice image de la JRM.

« J’aimerai bien sortir en boite avec toi un soir mais j’ai pas vraiment envie de rentrer tout seul parce que mademoiselle Baby-N sera partit chez un de ses amants. J’ai pas de voiture moi ! »

J’éclata de rire continuant à la masser et murmura doucement avec sincérité.

« Ça me fait plaisir que tu sois passer me voir aujourd’hui. »

Pas le sceau d’eau? Devenait elle plus mature? Après tout elle venait d’avoir un quart de siècle, en y repensant elle devait se sentir vielle maintenant. Non je rigole, je la connais que trop bien, elle n’aime pas humilier les bon coups, préférant passer pour une femme énigmatique. Je ne pouvais pas lui en vouloir après tout, elle était comme ça. Bien que d’un certain côté, je ne faisait que l’imaginer puisqu’elle n’avait jamais été comme ça avec moi. C’était un peu ma père castor qui me racontait ses histoires, pour la plupart érotique, n’oubliant aucun détail. Je ne l’avais jamais vue nu mais avec tout ce qu’elle m’avait dit la concernant, je crois que je la connaissait mieux physiquement que touts ses amants réunis… Bon ok je savais pas quel cris elle poussait quand elle le faisait bien que des fois elle me faisait des résumés plus que détaillés. mais pour ça il fallait que son coup soit divin ou alors pitoyable. Malheureusement pour elle c’étai rarement excellent, les hommes aiment beaucoup faire les malins mais quand faut y aller il y a plus personne. Certes, ça vaut aussi pour moi mais bon…

« Oui tu m’étonnes en ce moment, ça t’amuses plus ou quoi? »

Elle me rappela l’épisode du primaire. Un bisou? Oué elle dit ça maintenant mais à l’époque ben… Elle préférait le camion Barbie, je la connaissait assez bien pour le savoir. Après elle aurait peut être accepté que je sois son amant qui lui fasse des bisous en cachette quand l’autre mange sa compote à la cantine. Ah oué mince j’avais raté ma chance pour ce coup. Bon ba au moins ça me montrait que si j’étais nulle pour comprendre les femmes aujourd’hui, ça ne datait pas d’hier mais de ma tendre enfance. Bon ba je lui répondit.

« Ba tu vois, j’ai laissé filer ma chance ! Puis toi t’aimais vraiment les bisous? Tu m’en faisait pas en tout cas, tu préférais me terroriser… »

Ba quoi c’était vrai ! A cette époque elle avait deux ans de plus que moi et aimait bien m’embêter. Ces blagues étaient devenu des jeux qui avaient muté en amitié. J’étais le seule qui la supportais je crois bien. Mais étant tout seul j’appréciais cette fille qui venait me défendre quand mes petits camarades essayent de me mettre une dérouillée sans raison. Elle était un peu garçon manqué à ce moment. C’est plus tard qu’elle comprit qu’elle était désirée par beaucoup. Même les profs la draguaient. C’était super amusant a voir en faite…Enfin moi ça m’avait fait un peu souffrir qu’elle s’intéresse à tout le monde sauf à moi mais bon, j’avais jamais rien tenté non, je crois que je la respectais trop pour ça. Elle remis alors le couvert à propos des garçons naifs et des hommes expérimenté. Je répondit assez mécaniquement.

« Oui je sais, ce qui différencie l’homme du garçon c’est la façon de donner du plaisir à une femme. Le garçon la charme et l’homme…l’envoi au septième ciel. Je sais, tu me le dis tout le temps. »

Ben oué elle me l’avait assez dit dans le passé, elle m’avait proposer récemment de faire de moi un homme mais j’avais refusé à cause de Seo ok et à partir de ce moment là, je crois que c’est à ce moment qu’elle avait commencé à se montrer plus insistante. Était elle jalouse? Non je sais qu’elle voulait mon bonheur, le truc c’est que je ne pense pas que Mademoiselle Lee ai une bonne image au bureau. Quand on a un charme pareil passé la trentaine, on doit en faire des jaloux. C’est pourquoi, je n’en voulait pas à mon amie, elle essayait de me protéger et cela me faisait plaisir. Elle me déclara qu’un jour c’es moi qui lui sauterai dessus. Je la regarda interrogatif et lui demanda alors.

« Et si c’était le cas, tu me repousserai? »

Je la savais assez fière pour faire tourner les hommes en bourrique. pour moi je ne savait pas, j’avais un statut spéciale mais elle n’avait jamais pris la peine de m’expliquer en quoi j’avais des avantages que les autres n’ont pas. Je me demandais ce qu’il se passerait si j’acceptai de coucher avec elle; Allait elle me dégager? Me considérer comme un sex friend? Ou alors rester elle-même en me demandant des massages un peu plus hot cette fois. Ba..;Dans tous les cas, je savais pas quoi faire. Apprendre à devenir un bon coup avec Mi Hae. Non il était hors de question que je me serve d’elle pour plaire à Seo Ok. C’était pas dans ma nature, elle était ma meilleure amie et même si elle me le proposait et que pour le moment je disais non, les choses pourraient changer mais dans ce cas, je serai incapable de le lui demander. En tous les cas, elle me le rappela en m’expliquant pourquoi elle ne mettait pas de soutient gorge pour venir me voir. S’attendait elle que je saute dessus? Pensait elle sincèrement que je n’avais jamais eu envie d’elle? Même quand elle venait dormir à la maison quand son père lui mettait des claques, je la trouvais magnifique dans son pyjama grenouille alors bon…Avec la plastique qu’elle a maintenant…Je vois pas pourquoi je ne serai pas attiré, ce que je lui fit remarquer.

« Tu crois qu’en voyant ça je vais avoir envie de te prendre sur la table? D’ailleurs qui te dit que j’en ai jamais eu envie ! »

Et elle en remis une couche en murmurant que je la stressais à pas vouloir d’elle. Je m’arrêta de la masser pour remettre les choses au point.

« Je sais, je suis romantique et naïf de penser que ma première fois devrait être avec quelqu’un qui m’aime et qui veux simplement me rendre heureux. Je t’ai assez entendu parler des mecs inexpérimentés pour savoir à quel point c’est un calvaire pour une femme. Je vois pas pourquoi tu voudrais coucher avec moi dans ce cas… »

Oui ça venait du cœur mais n’allez pas croire que nous étions en train de nous disputer. Non nous étions cash dans nos relations et c’est quelque chose qu’elle aimait chez moi finalement, j’étais l ‘un des rares à pas lui dire ce qu’elle voulait entendre. Puis au moins, ça me permettrai d’en savoir plus ce propos. Pourquoi maintenant était elle si insistante? Amoureuse de moi? Non je connais bien Baby-N et l’amour ce n’est pas pour elle. Ses parents l’ont convaincus à leur façon que toute histoire se termine male. Pour ça qu’elle ne voulait pas s’attacher. Malheureusement pour elle, elle était tombé sur moi, un meilleur ami un peu casse pied mais qui l’aimait vraiment beaucoup. Par compte elle avait raison sur ce point, si elle était joueuse elle me ferait tourner en bourrique, c’est pourquoi je répondit tout en continuant à la masser.

« Je compte sur toi à ce moment là pour me mettre des baffes dans la gueules afin que je m’en rende compte. Puis si t’entends des bruits de couloirs aussi… T’es à la JRM après tout ! Puis je ne suis jamais seul, je sais que tu seras toujours là pour moi, que je couche ou non avec toi. Tu sais bien que c’est réciproque, on est copain comme cochon tous les deux ! Tu auras toujours une place très spéciale dans mon petite cœur de garçon naif. »

Elle se tourna alors vers moi et attrapa ma main qu’elle posa sur l’un de ses seins. Non mais qu’Est-ce qu’elle faisait là? Je veux bien qu’on soit très amie mais je suis un mec quand même et sa poitrine est magnifique. Enfin, je veux dire que des millions d’hommes rêveraient d’être à maa place à cet instant là. Et moi j’allais faire quoi? Le timide comme d’hab. A moins que…J’étais joueur c matin, e faite j’avais surtout envie de la surprendre afin qu’elle me trouve toujours aussi intéressant. En faite, j’avais peur de la perdre un jour, qu’elle me trouve trop ringard ou coincé pour elle. Enfin je réfléchissait trop, une vraie nana. Je la fixa dans les yeux et murmura un peu amusé même si je devais être tout rouge…

« Tu sais que des tas de gens me tuerais juste pour avoir eu le privilège de faire ça? »

Non mais qu’elle se rende un peu compte aussi…Enfin c’était Baby-N quoi, la tigresse de Séoul que personne ne pouvait dompter ni soumettre et qui était clairement en train de me demander des conseils en matière de poitrine. Je savais pas quoi faire puis je décida…d’agir comme un mec. Je vint alors déposer mon autre main sur son autre sein et les soupesa doucement, les caressent également mais bon…Je me sent con à dire que c’est la première fois que je touche une poitrine. Elle doit bien le savoir d’ailleurs.

« Désolé..j’arrivais pas à me rendre compte avec une seule main… »

J’esquissa un sourire avant de lui pincer légèrement l ‘extrémité de sa poitrine ce qui la fit quelque peu réagir. Je m’enleva alors. Et redéposa mes mains sur ses épaules, reprenant mon massage.

« Erf j’ai agis comme un con…Toi qui disais que je t’attirait pas…Tu vois bien que c’est le contraire. En plus tu viens de récupérer mon premier toucher de poitrine ! C’était ma première fois… Mais pour répondre à tes question, moi j'adore tes petits seins. Enfin pas si petit non plus, t'as la poitrine qui va avec ta carrure et tu me connais, je suis sincère avec toi. »

Ben oué j’étais un peu…idiot et même un peu coincé mais j’étais pas si mécontent de moi en faite. Je lui avait renvoyé la pareille en la touchant un peu plus que nécessaire a moins que…Me connaissant elle savait que je réagirai comme ça. Raaaa qu’on me donne un manuel pour y comprendre quelque chose aux femmes !

La simplicité est parfois la meilleure des défenses, bon je me disais que simplicité ne rimait pas avec le nom de ma meilleure amie. Ou bien son pseudonyme qui sortait dont ne sais ou. JE sais qu’elle n’aimait pas son prénom et ça devait surement venir du fait que ce soit ses parents qui lui aient donnés et vu comment elle les considérai, je me doutais qu’elle n’aimait pas. Enfin elle devait reconnaitre que ses géniteurs lui avaient donné un corps magnifique qui faisait frémir tous les hommes de la capitale qu’ils sont père de famille ou fervent catholique, bouddhiste, musulman ou tout ce que vous voulez. Bon les marocains se seraient jetés sur elle mais eux, ils draguent tout le temps alors bon… En tout les cas, je me contenta d’hocher la tête et d’esquisser un sourire, je savais qu’elle reprendrait du poile de la bête par la suite. Elle m’avoua qu’elle aimait vraiment les bisous à cette époque là mais je me doutais qu’elle ne m’aurait pas laisser agir ainsi sans m’en mettre une. Je n’étais pas du genre à forcer les choses et à éclater de rire au moment ou sa main aurait fait frémir ma joue. Que voulez vous je n’étais pas du genre à oser, j’étais même plutôt un mouton…je déposa alors un bisou sur son front.

« Ben tu aimes toujours les bisous non? Mes bisous sont peut être moins mouillés que ceux de tes amants mais ils ont au moins le mérite d’être sincère. Puis moi j’aime te faire des bisous, tu rougis toujours un peu après ! »

Lorsque je lui demanda si elle me repousserait si je revenais vers elle, elle m’avoua que non et qu’elle me montrerait ce qu’est une vraie femme. J’imaginais passer nos journées au lit a coucher ensemble histoire de me montrer tout ce que j’avais raté ces dernières années à trop rêver à Seo Ok. Boaf si je le faisait avec elle, je savait que coucher avec une autre fille n’aurait pas grand intérêt et je la connaissait assez pour savoir qu’elle n’était pas du genre à rester avec le même mec même s’il s’agit que de rapports corporels. Bon j’étais son meilleur ami mais ça reviendrait au même en faite.

« J’imagine que tu serais la meilleur des profs pour ça, une vraie femme de 25 ans en plus ! Rien que pour moi… le temps d’une nuit, d’un songe, d’un rêve. »

Oui j’étais poétique par moment et il fallait avouer que j’avais du mal à savoir ce que je voulait vraiment. Je ne la comprenait pas toujours. Pourquoi voulait elle absolument me montrer les plaisirs de l’amour? Voulait elle se tester elle-même? Savoir si elle était capable de rester mon ami? Oui peut être qu’elle voulait tester notre amitié ou peut être avait elle juste envie de moi…tout simplement. Je réfléchissais trop à vrais dire, je passais mon temps à penser et au final je n’agissais jamais. Je passais ensuite mon temps à regretter de pas voir fait les choses quand j’en avait la possibilité. Peut être allais je me manger un râteau sévère avec Seo et que sa proposition ne tiendrait plus. Dans ce cas, je n’aurait qu’a blâmer ma stupidité. Et ce fut d’ailleurs ce que Mi Hae déclara, que si J’avais envie de la prendre sur la table, je n’avais qu’à le faire, elle n’attendait que ça. Mais que j’arrête de réfléchir à toutes ses choses sans intérêt.

« Tu sais bien que c’est pas mon genre, t’es pas une pute, j’ai trop de respect pour toi et jamais je ne ferai ça. Je préfère un lieu plus romantique pour une première fois en plus… »

Je crois que je ne me rendais pas compte de mes doubles sens et que je donnais le bâton pour me faire battre. Je lui avait pas dit non pour coucher, je lui avait dit non pour la table. Et voila, je savais qu’elle allait encore utiliser ça contre moi pour me charmer. Même si j’étais un peu idiot, je restais un homme mais il y avait une chose qu’elle ne comprenait pas c’était que mon respect pour elle éétait bien plus important que mes pulsions. Je devais être stupide pour ne pas en profiter mais que voulez vous…il faut aussi des crétins pour faire un monde. Elle compris alors que j’avais évoqué la possibilité de coucher avec toi.

"Ça doit bien faire huit ans que je réfléchis à ça. Mais tu crois quoi? Qu’une femme aussi désirable que toi ne m’attires pas? Je suis pas gay hein ! C’est juste que…T’es la seule amie qui compte vraiment pour moi et je voudrai pas te perdre à cause de ça…. »

Quand je déclara qu’on pourrait me tuer pour l’avoir toucher commença, elle murmura que si quelqu’un osait, elle le tuerait. Elle était adorable quand elle disait ça, j’avais envie de l’embrasser mais c’était pas mon genre. Ça me faisait plaisir d’entendre que je compte pour quelqu’un et que finalement je suis pas si seul dans ce monde ou je peine à trouver ma place. Oui j’avais une amie sur qui je pouvais compter, quelqu’un qui serait toujours là pour moi, surtout quand ça va pas. Puis de toute manière, si quelqu’un me voyait discuter avec elle à la JRM, je rendrai tout le monde jaloux car avoir une discution normale avec elle est impossible pour les autres personnes. Ça fait plaisir de se sentir important… Bon j’aurai mieux fait d’éviter de dire que j’adorais sa poitrine car elle me demanda pourquoi je ne continuais pas à les toucher…j’hocha les épaules pour lui dire que je savais pas, que c’était quand même sa poitrine et que c’était censé rester un lieu intime mais bon…Lui expliquer la pudeur était un combat impossible à mener… c’est alors qu’elle me surpris, elle me donnait des conseils et c’était clairement pour que je sache comment draguer Seo Ok. Attaquer? Moi qui était si…soumis? Ben c’était franchement mal barré, je me contenta d’hocher la tête sans trop rien dire. Bon elle en eu marre de ma passivité et attrapa de nouveau mes mains qu’elle posa contre sa poitrine. Mais elle aimait que je la touche ou quoi? Elle me demanda maintenant d’agir comme un homme et de ne surtout pas changer d’avis ensuite. Ben je pouvais faire quoi moi….agir comme un homme. Que fais un homme dans ce genre de cas? Putaint mais je sais pas moi, je regarde pas de films pornographiques… Je respira un grand coup et je décida de me laisser aller, c’était mon amie et elle voulait m’aider. Bon j’aimai pas avoir à se servir de son corps pour ça mais…avais-je le choix?

Bon et bien puisque mes mains étaient déjà sur place, je commença à les caresser, prenant mon temps, les découvrant à l’aveuglette car sa veste cachait tout. C’était vraiment très agréable et je pouvais entendre son cœur battre, j’aimai titiller légèrement l’extrémité de ses seins car je remarquai que cela la faisait réagir. Bon j’étais pas un homme la…j’étais un gamin qui découvrait quelque chose. J’avais l’air ridicule. Bon allez, je poussa une nouvelle respiration et attrapa le dossier du fauteuil ou elle se tenait et je le tourna vers moi afin de la voir en face de moi. Je la fixa dans les yeux, mes mains n’avaient pas bouger. J’étais décidé ! Je devais agir en homme, j’en avais un peu marre qu’elle se moque de moi; C’est alors que mes mains se retirèrent pour défaire le bouton de sa veste et descendre celle-ci le long de ses épaules. Je plongea alors la tête entre cette poitrine tout en continuant à poser mes mains dessus. Je déposa mes lèvres dessus déposant de simples baisers qui devinrent plus mouiller par la suite avant de m’attarder de nouveau sur l’extrémité de ceux-ci. Je traçais les contours et mordilla légèrement cet endroit avant de me redresser et de lui rouler un patin.

« Sa ta plut? »

Bon sa faisait un peu macho alors que la seule chose que j’avais envie de faire c’était aller me cacher pour ne pas qu’elle me voit. Je me sentait gêné. C’était pas moi ça ! C’était un autre homme, moi je me permettais pas ce genre de chose. Je ne savais plus quoi faire, je voulais m’excuser et tout ça et mon visage vira au rouge, je posa alors ma main sur mon front.

« j’étais pitoyable c’est ça? »

C’était ma meilleure amie et elle et mois étions toujours sincère même si ça blessait. Autant qu’elle le soit si c’était le cas.

Je dois être l exception qui confirme la règle, car elle pouvait dire ce qu’elle voulait, une petite rougeur vint apparaitre sur ses joues lorsque j’y déposa un petit bisou. Peut être se sentait elle différente avec moi. Enfin vue son insistance pour que l‘on couche ensemble, je me permettais d’en douter. Etais je comme tous les autres? Juste un peu plus difficile à avoir? Qu’allait elle faire si j’acceptai? Je la voyait mal partir pour ne jamais revenir car je savais qu’elle avait besoin de moi. Oui je le savais car j’avais besoin d’elle et qu’importe ce qu’elle disait, notre relation était d’une parfaite réciprocité. On s’appréciait car on se complétait parfaitement. J’avais déjà imaginé sa réaction après une nuit passée avec moi. Elle partirait tôt le matin, avant mon réveil, sans une parole, sans un mot, sans rien. Elle éteindrait son téléphone et quelques jours plus tard, elle viendrait frapper à ma porte de demandant un massage et me parlant de sa semaine comme si il ne c’était rien passé. Je la voyait mal faire de moi son sex friend quoique c’était peut être ce qu’elle voulait. Venir me voir quand elle avait la flemme de sortir pour se trouver un amant, juste histoire de s’envoyer en l’air et ensuite, parler de tout et de rien comme nous le faisons habituellement. Difficile de savoir et pour tout vous dire je pense qu’elle aussi n’en a pas la moindre idée. Je lui répondit doucement.

« Prend ton miroir, tu as une petite rougeur. Je trouve ça mignon, fais pas ta complexé devant moi. Tu n’es jamais comme ça avec tes amants, je te connais assez pour le savoir. »

Ou je voulais et quand je voulais? Oui ça je le savait et d’une certaine façon cela me faisait mal. Ma meilleure amie ne me comprenait pas. Elle me disait simplement que je pouvais me la taper sans même lui demander son avis. Non je ne voulais pas que ma première fois soit une coucherie ou le seul et unique but soit de prendre son pied, non moi je voulais faire l’amour. Pourquoi les femmes ne comprennent jamais ça? Demandez à Ki Min, lui aussi il essaye de l’expliquer à sa petite amie et mis à part l’embrouiller, elle ne fait toujours pas la différence. Bon je tenta une explication.

« Je sais tout ça, je sais aussi que tu n’attends que ça. Par compte je sais pas vraiment pourquoi. Moi je veux que ma première fois soit avec une femme qui m’aime et qu’elle fasse ça par amour, pas juste par caprice. »

Oui elle avait clairement compris que je parlais d’elle, je considérais sa volonté de m’avoir comme un caprice de gamin trop gâté. Elle avait tous les hommes qu’elle voulait à ses pieds et en plus, elle me voulait moi, qui n’est aucune expérience et qui rêve encore aux comtes de fées. Peut être voulait elle le faire avec la personne qui l’aimait le plus au monde. Je ne sais pas pour tout vous dire. C’est vrais qu’elle n’avait jamais aimé quiconque et que du coup, elle n’avait jamais fait l’amour, peut être qu’elle voulait le découvrir avec moi. Non mais qu’est-ce que je raconte, on parle de Baby-N là ! Elle est pas du tout comme ça. Elle n’aime pas qu’on lui résiste et ça s’arrête là. Puis narcissique comme elle est, elle veux surement me montrer que jamais je ne pourrais trouver une petite amie aussi douée. C’était plus son style mais peut être me réservait elle encore d’autres surprises.

Et voila, j’avais fait une boulette, j’ai jamais dit qu’elle était une pute, seulement que je ne voulais pas qu’elle est l’impression que je la considère comme ça. Je compris alors qu’elle me considérait comme une vieille fille et que le romantisme n’était que quelque chose d’abstrait et que cela ne signifiait en réalité pas grand-chose. Cela fit apparaitre un sourire sur mon visage. Elle était amusante à me remettre à ma place.

«  J’ai jamais dit que t’étais une pute…Je veux pas que tu penses que si je te prenais sur cette table je te considérerai comme une de ces filles. Non mais qu’est-ce que raconte là…Tu vois tu me fais dire des conneries ! Le lieu c’est pas important? Mais je me demandais. Maintenant que tu collectionnes les nuits avec les hommes, tu te souviens encore de ta première fois? »

C’est vrais que c’était une question que je m’étais toujours posé. Elle me l’avait annoncé longtemps, après que ce soit passé. Bon faut dire que j’étais aller la voir chez elle et que je l’avais vu sous la couette avec un garçon. Je crois que c’est ma réaction qui lui fait plaisir puisque je ne l’ai jamais juger et par la suite, elle en est venue tout me raconter y compris sur sa vie sexuelle. Par compte, concernant sa première fois elle avait été assez discrète, en même temps je lui avait jamais demandé. Le plus souvent je ne faisait que l’écouter, lui donnant des petits conseils de temps à autre…Qu’elles ne suivaient jamais d’ailleurs. Enfin bref c’était pas une raison de lui en vouloir. Puis bon elle me rappela que je ne risquait pas de la perdre surtout comme ça et que j’étais bête de penser ça. Elle ne pouvait pas imaginer à quel point j’étais heureux qu’elle m’insulte comme s’il s’agissait d’une évidence et qu’elle n’en avait jamais douté.

«  Notre relation changerait non? Ou alors je deviendrai ton ultimate sex friend.?

J’éclata de rire en disant ça. J’étais pas spécialement sérieux mais ça m’intéressait de voir comment elle voyait les choses. Baby-N était une femme bien trop compliquée pour que je puisse lire en elle comme dans un livre. Après tout, combien d’hommes auraient rêver d’être à ma place. Je ne savais pas pourquoi mais je savais que ce moment viendrait un jour, peut être ma part d’affronter Seo Ok ou ce que l’on appelle plus vulgairement : la peur de l’échec. En tout les cas, désormais, j’avais une fois de plus les mains sur sa poitrine et je pense que ce fut sa remarque sur ma probable homosexualité qui me poussa à agir comme un homme en la surprenant et en embrassant ses seins.

Bon c’était l’heure du verdict et je le sentait pas vraiment bien, bon en plus j’avais un peu balisé sur la fin. Me disant que c’était pas géniale et que j’avais agis juste par fierté. Elle pris son temps pour trouver ses mots et finalement me compara à un enfant attiré par de délicieuses sucrerie. C’est vrai que sa poitrine m’attirait depuis longtemps et que je m’étais un peu défoulé. J’avais laissé mon corps parler et ça avait pas du être fait de façon très propre, plutôt comme un animal qui se jette sur sa proie sans chercher à faire de détails. Oué voila, enfin je me sentais étrange. D’un côté je m’étais trouvé nul mais je ressentais une étrange envie, celle de recommencer dans l’instant pour m’améliorer. Je ne savais pas vraiment ce que je voulais, je sentais quelque chose d’étrange en moi, comme une petite voix me disant « Elle a gagné ». Elle, c’était ma meilleur amie et sa victoire c’était que j’avais franchis un cap qui pouvait lui faire espérer un peu plus. Enfin, ce n’était plus vraiment moi qui pensait à cela, c’était mon corps. Il brulait d’envie d’en découvrir plus, là maintenant et dans n’importe quel endroit.

Je pense que ça doit être ça le désir, je l’avais refoulé tant d’années mais au final, j’avais tellement fantasmé sur elle que je l’avais mis sur un piédestal la pensant intouchable. Elle me parla de confiance en moi, me disant que c’était ce qui différenciait l’homme d’un garçon. Comment pouvais-je avoir confiance en moi dans un domaine qui n’était pas le mien. Je n’avait jamais eu confiance en moi en règle générale et la…je devais agir comme ça. Impossible et irréalisable à mes yeux.

«  Eu…on parle de moi là,, tu sais à quel point je manque de confiance en moi-même… »

Ben oué, elle le savait très bien pour le coup, elle me connait mieux que quiconque et ce qui me surprit, enfin qu’a moitié, c’est qu’elle ne prit même pas la peine de refermer sa veste que je lui avait ouvert lorsque j’avais essayé de lui prouver que je n’étais pas gay. C’était la première fois que je voyais ses seins, à vrais dire j’avais plongé la tête dedans mais j’avais fermé les yeux…Oué je sais…pitoyable, enfin, elle avait pas vue sinon elle se serait moqué de moi. Enfin là je les avaient en face de moi. Ils étaient pas vraiment petit, plutôt bien en faite. Belle forme, belle couleur et je pouvais le dire…bon gout. Ça se dit ce genre de chose? Ben je sais pas vraiment pour tout vous dire… Et bien évidemment, elle me posa la question les concernant. Ba oui à la base si on en était arrivé là c’était quand même pour répondre à une question existentielle : Devait elle se faire refaire les seins…

«  Ils sont très bien, parfait j’ai même envie de te dire. Quand au fait qu’il soit désirable…Je pense que ma réaction de tout à l’heure peut t’offrir un semblant de réponse. Mais….eu…enfin…bon….eu…oué…je peux tout te dire de toute façon. Je me sent étrange, comme si j’avais envie d’y gouter une nouvelle fois… »

Au moins, elle ne pouvait pas me reprocher d’être hypocrite, je lui disais les choses comme je les pensaient et puis, je voulais qu’elle m’explique cette sensation qui m’envahissait. Si j’étais excité? Non pas vraiment, son absence de réaction ne m’avait pas incité à continuer. Je sais pas, disons que dans les films de science naturelle, la nana était censé pousser des soupirs de plaisir..; Enfin en même temps, ma meilleure amie venait de se faire caresser la poitrine par un gamin qui avait cru bouffer la dernière Chuppa Chups. C’est le genre de moment ou l’on se sent con…Non mais vraiment quoi. Que dire, que faire…Cette fois ci elle ne m’avait pas inciter à recommencer ou à aller plus loin. Etais ce un test? Voulait elle voir ma réaction . Si elle pensait que j’allais l’attraper par les cheveux pour la choper dans un coin, c’était pas mon genre…Non franchement pas. Lui faire du mal? Ah ça jamais ! Baby-N n’avait cessé de me répéter que si je la voulais, je n’avais qu’à me servir…Puis bon, j’avais envie de lui montrer que je suis pas un neuneu, que je suis un homme et que…bon Ok c’est mal barré.

«  Je peux te poser une question indiscrète? Voila je voulais savoir si je t’excitai… »

Mais qu’Est-ce que c’est que cette question. Une trop mauvaise habitude que j’ai pris avec elle qui est de ne pas réfléchir quand je lui parle et de lui dire tout ce qui me passe par la tête. Je me demandait en faite si j’étais désirable. Pas ce que j’avais fait, je parlais plutôt de mon physique. J’eu envie de m’excuser et de lui dire que c’était une question très conne mais cela l’aurait agacé encore plus. Elle trouvait que je n’osait pas assez alors pour une fois…

Je vint m’assoir sur les accoudoirs du fauteuil, juste à côté d’elle et la fixa dans les yeux. Oui ça faisait genre j’allais dire un truc super sérieux mais en faite j’avais une grosse connerie à dire… Elle me connaissait assez pour savoir que je n’aimais pas rester sérieux trop longtemps…

« Si je supportes plus de me faire victimiser par les starlettes, je pourrais venir te voir dans ton bureau pour que tu me réconfortes? Je suis sur que tu dois avoir un placard assez grand pour nous deux… »

Attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je n’avait pas dit que je voulais le faire dans des endroits finalement assez spécial dans un lieu qui l’était encore plus…Disons que mon entretient avec Seo Ok risquait ou non de me faire changer pas mal de chose et surtout ma façon d’agir avec les femmes. Pendant que je parlai, je ne remarqua même pas que ma main droite était venu se poser sur l’un de ses seins, le caressant presque naturellement…

Bon ba cette fois, elle ne répondit rien, elle ne prit même pas la peine de regarder à travers son miroir si ses pommettes avaient virés au rose bonbon. Non, elle savait que j’avais raison mais ne voulais pas que je la considère comme une petite fille mignonne qui mérite qu’on lui bisoute la face tellement elle est vilaine. Alors elle ne répondit rien, c’était plutôt classique, du genre ok t’as raison mais je suis tellement égocentrique qu’il est hors de question de l’avouer. Elle était comme ça ma Baby-N. A se fouttre de tout sauf des remarques sans intérêts que je lui faisait. Ba après tout, c’était ma meilleure amie et je l’aimais telle qu’elle, elle avait pas besoin de changer… Non qu’elle reste comme ça, près de moi, pour toujours. Oué je sais sa fait gamin de croire que les amis c’est pour la vie mais bon, j’en ai pas beaucoup alors si je dois en garder une, je veux que ce soit elle.

Enfin voila, on allait enfin parler de sa première fois mais comme d’habitude, mademoiselle faisait des cachoteries à ne pas vouloir en parler ou en faisant genre de me prendre pour un imbécile. Comment je pouvais savoir ce que l’on ressentait après une première fois? Je suis pas Madame Soleil ! En plus, comment ça c’était toujours foireux? Moi on m’avait pas dit ça ! Rembourser ! Films Hollywoodiens mensongers ! Pourquoi l’amour c’est pas comme dans les films? Bon après tout, arrêtons de raler au sujet de ce genre de film, cet bad girl n’avait pas répondu à ma question.

« C’était comment ta première fois? Raconte moi ! Tu m’as jamais dit. Puis j’imagine que tu serais à la hauteur c’est moi qui ne pense pas l’être. Mais comprend moi aussi, tu m’as tellement raconté de choses sur les mecs peu expérimentés, j’ai pas envie d’entrer dans ton musée des horreurs sexuels moi ! »

Enfin bon, après tout pourquoi ne pas essayer? Non mais qu’Est-ce que je dis là, elle ne me retournera pas le cerveau aussi facilement. Je sais que ya des premières fois qui se passent bien, faut juste pas choisir le premier venue… Bon ok c’est clairement ce qu’elle me proposait mais Seo Ok n’était pas n’importe qui si? Quoique si elle s’intéresse à moi uniquement pour mon physique, j’aurai l’air con à lui dire « Eu c’est ma première fois, soit douce s’il te plait. » Raaaa cette Mi Hae me faisait réellement douter. Je la voyais mal agir ainsi juste par égoïsme, non elle semblait vouloir le meilleur pour moi et le meilleur, elle et moi le savions, c’était clairement elle. Bon elle me demanda alors si se Ok serait d’accord pour que je devienne son sen sex friend, je poussa un soupir d’agacement.

« Je suis pas encore avec elle déjà… Faut du temps pour que ça se fasse. Puis bon, avoir l’honneur de coucher plusieurs fois avec toi, ça ne se refuse pas. Sauf quand on est ton meilleur amie et…qu’on a de plus en plus de mal à dire non… »

Bon j’avouais une de mes faiblesses mais elle était pas myope et avait très bien compris qu’elle m’attirait et que mo corps et mon esprit bataillaient ferme. Oui, non, juste un peu, juste pas du tout, au moins ça, pas ça. Raaa j’étais perdu moi ! Non mais déjà vous connaissez un mec qui aurait tenu jusque là sans lui sauter dessus et lui faire prendre gout au tapis du salon? Non ba voila, critiquez pas ! Vous êtes jaloux de la puissance de ma résistance ! Bon ok..C’est de la peur et de la bêtise mais on va faire comme ci… Enfin bon mademoiselle essaya de me faire comprendre que la confiance venait au fur et à mesure et qu’au fil du temps cela venait naturellement… Moué j’y crois pas trop enfin bon…

« Oui tu as raison, tout ça c’est dans ma bête, c’est moi le meilleur, je suis super Ji Sung ! Je suis un homme un vrai ! »

Pathétique…Enfin bref j’essayais comme je pouvais de reprendre confiance en moi. Que voulez vous, c’était pas si simple que ça, après elle disait que c’était dans la tête. Je veux bien moi là, je comprend plus grand-chose. Enfin passons les leçons de coaching confiance à revenons à nos moutons ou plutôt à cette belle poitrine qui me fait envie depuis tout à l’heure. J’aurai mis ma main à couper qu’elle m’inviterai à les toucher quand je voulais, pire à les gouter. Bon ba oué je sais je suis un privilégie tout ça mais bon, c’est un peu gênant venant de ma meilleure amie quoi. On parle pas de pommes, de poire ou de prune la…On parle d’une partie du corps dont raffolent particulièrement les hommes et que les femmes sont censés montrés avec parcimonie.

« Ok, j’y repenserai… »

Que dire d’autre? Pas grand-chose en faite, voir même rien du tout, j’avais rien à lui dire, comme je comptais pas me jeter dessus et repasser pour un trisomique…Ben j’avais pas vraiment le choix; Puis vint ma question con à laquelle elle répondit avec franchise. Peut être un peu trop d’ailleurs. J’eu l’impression de me prendre un coup de surin en pleine poitrine. Putaint ça fait sacrement mal de l’entendre vous dire ça. Pis c’est pas « pas trop » ou vraiment un petit peu, c’était pas du tout; Le « pas » qui dit clairement que si je n’avais pas été son ami d’enfance, elle ne m’aurait même pas accorder un regard. Je manquai de conviction. Je fronça les sourcilles, elle m’avait énervé là…

« De conviction… Je suis clairement en train de réfléchir si je dois coucher ou non avec ma meilleur amie et tu me parles de conviction? Pour avoir des convictions il faut des certitudes. Désolé de pas être forte comme toi, de pas savoir tout ce que je veux dans la vie comme tu le fait si bien. Je serai jamais un mec direct et je serai pas non plus un bon amant; Tout ce que je fais dans la vie est toujours moyen alors bon…Commet tu veux que j’ai de la confiance ou des conviction? Le seul moment ou je rêve c’est quand tu me raconte tes histoires…Ben oué moi je suis un looser avec un grand L. »

Puis je me calma doucement respire, respire, you can do it ! Yeah like this; Bon voila, mes colères ne duraient jamais longtemps et à vrais dire celle-ci ne se dirigeait pas envers ma meilleure amie mais envers moi-même et elle l’avait très bien compris. Je baissa les yeux repensant à tout cela; Après tout, une première fois, pourquoi considérais je cela comme quelque chose d’important? Voulais je passer pour un nul auprès de Seo Ok, décevoir ma meilleure amie? Tout ce que j’essayais de faire avec sincérité se retournait contre moi. Je poussa un soupire et retrouva le sourire quand elle me parla de baisser les volets de son bureau. Je la regarda et pesta.

« Ah ba oui hein ! Moi je veux te voir quand on le fera, que je me souvienne de ton visage hurlant. Oh Ji Sung continue, tu es le meilleur des amants, tu es un Dieuuuuuu , prend moi comme ça….Tout ça tout ça quoi…»

Pendant que je racontai ça ma main était venue caresser son sein, bon je m’en étais pas rendu compte mais quand ce fut le cas, bien évidemment je voulut l’enlever mais malheureusement Mi hae se leva avant de me pousser au fond du fauteuil, venant à califourchon sur moi et me regarda en souriant.

« Heureusement que je t’excites pas parce que sinon, j’image même pas… »

Puis là, je ne peux pas vous dire ce qui se passa mais je sentit les lèvres de Baby-N le long de mon coup, elle faisait cela de manière sensuelle et provocante et cela me fit frissonner; elle passa près de mon oreille et me susurra qu’elle était être obliger d’agir si je me décidais pas. Euuuu qu’es ce qu’elle voulait dire là? Je peux avoir un dictionnaire pour qu’on m’explique car je suis largué moi. Enfin bref, quand je la vit ouvrir ma braguette je voulut la repousser et lui dire d’aller se faire cuire un œuf mais j’étais comme…Paralysé pris entre la peur de savoir ce qu’elle allait faire et la volonté de le découvrir, cela dis ma réponse fut tout autre.

« Peut être que c’est-ce que j’attendais depuis le début, que tu me désires au point de ne plus me demander mon avis… »

Je sais pas pourquoi je prononça ça mais tout ce que je pouvais dire c’était que son acharnement me faisait plaisir, peut être avais-je envie tout simplement qu’elle en vienne à me désirer autant que moi je la désire. Je ne savais pas ce qu’elle comptait faire et j’espérai qu’il ne s’agirait pas de l’acte en lui-même mais désormais j’avais compris une chose : Je ne la perdrai jamais, peut importe ce que nous risquions ou non de faire. J’avais pas vraiment envie de le faire là sur le fauteuil de la table du salon, je voulais un endroit plus classique mais avant de penser à ça, je devais savoir ce qu’elle comptait faire. Peut être allais je me bruler les ailes à vouloir continuer ou peut être…Que je serai capable de résister; Après toi, ce n’est pas ce qu’elle voulait? Ce qu’elle appelait conviction?

Oh la petite cachotière qui veux pas raconter une anecdote croustillante à son meilleur ami ! C’est mal ! Vilaine petite Mi Hae. Ah oui c’est po bien. Je savais pas que ça avait été si pitoyable que cela… Alors en faite, pour tout vous dire, je l’imaginais bien complètement bourré dans les bras d’un vieux qui venait de s’occuper d’elle et de lui prendre son innocence qu’elle ne s’en était même pas aperçut. C’était marrant d’imaginer ça mais on pouvait dire qu’elle avait eu le temps de bien se rattraper devenant l’ange noir de Séoul. Celle que l’on voit qu’une fois et qui vient vous apporter un seul moment d’extase avant de disparaitre pour ne jamais revenir. Bon après tout, elle était comme cela, quand elle ne voulait vraiment pas dire quelque chose, il devenait impossible de lui arracher les mots de la bouche, je tenta une échappatoire.

« Habituellement, tu me dis tout, y compris la taille de l’engin de tes amants et là tu me cacherai ta première fois? Je vais pas être dégouter t’inquiètes pas, vu qu’entre Seo Ok et toi, je crois qu’il y a difficilement mieux même si je dois dire que tu es un cran au dessus. »

Je le pensais pas vraiment mais si je la mettais au même niveau que ma douce patronne, elle risquait encore de mal le prendre et de prendre ma main pour encore la poser je ne sais ou.… Du coup c’était mieux de la mettre en valeur. Cherchez pas a Comprendre, vous lui dites qu’elle est magnifique et ça lui va pas. Bon ba…T’es moche, tu ressembles a rien…Erf je sais que c’est pas vrai mais des fois il faudrait dire ça aux demoiselles qui passent leur temps à se plaindre. Heureusement baby-N n’était pas encore au stade de la discutions avec elle-même, au travers de son miroir. Enfin bon, la phrase sur lequel j’avais dérapé, au sujet du fait qu’elle était ma meilleure amie et que cela devenait de plus en plus dur de lui résister. Je ne savais pas vraiment quoi lui répondre, elle avait toujours réponse à tout en faite. J’avais envie de lui dire que non c’était pas une excuse mais que si en faite puis que je la considérait comme ma sœur. Bon allez !

« Non c’est pas une excuse pour te dire non, juste que j’ai du respect pour toi et qu’il est normal que je fasse passer notre amitié avant tout ! »

Oui je sais, cela ne changerait rien, elle me l’avait déjà dit. On passerait juste un peu plus de temps au lit voila tout. Le rêve de tout home, les avantages sans les inconvénients. Pas besoin de faire la bouffe, la vaisselle, la machine à laver, changer les ampoules pour pouvoir après cette journée harassante, prendre son pied. Non la c’était gratuit, sans rien en échange, faut dire que ça avait l’air fortement alléchant. Seulement, je me répète mais je suis pas du genre profiteur. Alors que ma mère tien une librairie, je Continuais à acheter mes magasines de guitare sur internet alors que je pouvais les avoirs gratuitement. Bref voila quoi…Je compris en voyant les yeux de mon amie qu’elle savait qu’elle y était aller un peu fort, disons que nous n’étions jamais hypocrite entre nous même si cela pouvait faire mal et ce soir en était la preuve parfaite. Rien d’autre à dire. Bon heureusement, contrairement aux autres, Mi Hae était très humaine et sembla toucher par mon discours faisant l’apologie de la loosatitude. C’est vrai ça, pourquoi moi en meilleur ami? Etais je le seul à ne pas comprendre pourquoi? Je pensais que c’était devenu une habitude, à force de me côtoyer mais plus les années passent et plus on semble se rapprocher même si les choses n’ont pas beaucoup changés,, elle est et sera toujours mon exacte contraire.

Son narcissisme poussé n’était pas si mal au fond ! Finalement il me permettait de reprendre confiance en moi et en même temps, se lancer des fleurs. J’aimai bien la comparaison. Parce qu’elle me considérait comme son meilleur ami je n’étais pas un looser. Ok ça se tient mais comme on dit, parfois on a besoin de motivation. Une femme si douce comme meilleur aie c’est quand même quelque chose d’agréable, j’aurais put tomber sur plus moche, faut l’avouer. J’avais eu de la chance, enfin bon, je me contenta d’hocher la tête comme un enfant a qui on venait de faire la leçon et esquissa un sourire.

« Tu sais que t’es mimi quand t’es comme ça? Tu pourrais être une femme au foyer extraordinaire. »

Enfin bon, elle se contenta d’un sourire lorsqu’elle m’entendit mimer ses gémissements; Faut dire qu’elle m’avais déjà fait le coup quand elle était soule, s’amusant à pousser des soupirs torrides dans le creux de mes oreilles. C’est pour cela que je pouvais deviner facilement puis…Ce serait comme un rêve pour moi, ça signifierai que j’ai bien travailler, que je mérite un bonbon et peut être même un bon point. Avec dix bons points j’aurais une image et avec dix images j’aurais une grande image. C’est bien fait la vie non? En tout les cas, elle avait envie de voir le mien, j’étais plus discret qu’elle en faite et je me voyais mal crier dans tout l’immeuble le plaisir qu’elle m’offrait. Quoique comment pouvais-je savoir si je ne hurlerai pas? Raaa cette fille me fait vraiment douter de tout. En tout les cas, je me retrouva au fond du fauteuil avec Baby-N a califourchon en moins de deux… Bon je vous est déjà décris sa manière de poser ses lèvres dans mon coup? Ba vous imaginerez même pas ou mes mains sont aller se nicher. Dans le mile, sur sa poitrine, c’était devenu comme un reflexe. Vous savez pas ce qui va vous arriver alors vous vous tenez à la seule chose que vous connaissez. Même si ça me gênai un peu. Quand j’avoua que peut être j’attendais simplement qu’elle en vienne à dépasser ses sentiments d’amitié pour limite me violer, je crois que ce fut une mauvaise idée car elle comprit qu’il fallait qu’elle ose plus. Elle murmura que j’étais un malin mais au lieu de lui répondre que non, c’était pas ça, je répondit avec sensualité.

« Tu n’as même pas idée. »

Ba voila… Du coup je la voyait en train d’ouvrir mon pantalon, elle allait faire ça aussi lentement histoire que je meurs d’une crise cardiaque ou quoi? Qu’Est-ce qu’elle veux faire? Ola ! Sa tête qui bascule, mon intimité sortit de son linge et tenue dans ses mains comme un trophée. Elle ne va quand même pas… Et si, j’essaya de la repousser mais elle comprit rapidement que je ne pouvais plus rien à faire. A peine eu t’elle commença son étrange massage (on va le dire comme ça xD), Je ne put que plaquer ma tête en arrière, me retrouvant habiter par le plaisir. Pour tout vous dire, j’avais toujours trouvé ça dégoutant en voyant ce genre de trucs dans certains films mais là, soudainement, j’oubliai tout ces préjugés de gamins un peu trop naïf pour ça… Pui bon, ça durait pas deux minutes non plus, c’est qu’elle s’appliquait, s’amusant à me fixer pendant qu’elle continuait. Je ne savais pas jusqu’ou ces bêtises iraient mais je pouvais dire quelque chose : C’était très agréable. J’avoua d’ailleurs ne pas comprendre pourquoi mes mains vinrent presser sa tête contre mon intimité, je compris en voyant cela qu’il est bien difficile de résister à la tentation. Je pouvais même pas sortir une phrase à la con pour la faire rire, elle semblait donner le meilleur de ce qu’elle avait pour enfin me faire taire. Je tenta tout de même une phrase

« Mi Hae, pourquoi? »

J’eu même pas le temps de finir ma phares qu’elle sembla accélérer, venais je de tomber dans le plus vieux piège de l’humanité? Je ne sais pas mais ça donnait envie de se faire piéger plus souvent…

Bon, je vais lui mettre une grosse baffe dans la poire afin qu’elle me raconte ça. Non mais c’est vrai, ça me rend triste qu’elle me cache des choses même si j’avoue que cela doit la déranger un peu. Pour une fois ce fut elle qui n’y connaissait rien. Je l’imaginais bien mais je me demandais pourquoi elle ne voulait pas me le dire. Après tout, elle me racontait même des histoires amusant, je fronça les sourcilles espérant qu’il ne se soit pas passer quelque chose de grave qui l’aurait bloqué… Oui je suis aussi curieux qu’une abonné au magasine Closer, cette fille c’est un peu mon sujet d’intérêt, je pourrai écrire une thèse sur elle tellement elle est compliquée. Puis si je publiais mon bouquin, il ferait sensation vu le nombre d’amant qu’elle a eu. Je voyais déjà le titre : Baby-N, les dessous cachés de l’idole de la nuit. Oué ça ferait bien quoique j’en connait une qui m’étranglerait immédiatement si j’avais la bêtise de publier ce genre d’ouvrage. Elle sonnerait à ma porte comme ce matin, tronçonneuse à la main et me découperait en petit morceau découpant mon intimité qu’elle garderait à part pour la revendre à un musée : L’homme qui lui dit non tant de fois ». Bon….O va arrêter les délires et revenir à cette première fois, je lui demanda alors.

« Ok je lâche l’affaire mais j’espère que c’était pas un viole ou un truc du genre sinon tu me dis et je vais lui péter la gueule. »

Si j’avais déjà fait ce genre de chose? Oui une fois et pour ses beaux yeux en plus. Je me souvient qu’un garçon arrêtait pas de l’embêter au Lycée. Il était encore plus moche que moi alors bien sur, elle en voulait pas. Le mec avait tenter d’user la force et l’avait violemment plaquée contre un mur avant que je ne vienne ne lui en mettre une. La sa fait héro qui sauve la princesse mais la suite était moins héroïque puisqu’il c’était défendu et que j’avais le nez cassé et l’arcade sourcilière bien amochée. Par contre il avait quitté le Lycée avec sa jambe cassé, il supportait plus que tout le monde se moque de lui en lui disant qu’il avait été battu par looser number one… Oui c’était l’un de mes nombreux surnoms…Sympathique non? Et encore je vous épargne les plus malsains et les plus vulgaires…

L’excuse du respect pour ne pas coucher avec elle, oui je l’utilisait beaucoup aujourd’hui même si je dois avouer que ce n’était pas non plus un moyen de me protéger. J’avais pas envie qu’elle s’imagine des choses, que j’essaye de profiter d’elle ou ce genre de truc mais aujourd’hui, j’avais compris quelque chose, en réalité, elle n’attendait que ça. Il était compliquer de comprendre Baby-N mais si il y avait bien quelque chose dont j’étais sure désormais c’était que cette fille me surprendrait toujours. J’aimais à croire qu’elle voulait me donner toutes les chances pour mettre Seo Ok dans mon lit mais je dois avouer que des fois je me demandais pas si elle était un peu jalouse en réalité. Avait elle peur que je l’abandonne? Que j’arrête de lui dire? Certaines personnes oublies leurs amis quand ils rencontrent quelqu’un pour s’enfermer dans une bulle avec elle. J’étais pas comme ça et elle le savait, ma meilleure amie était une personne très importante pour moi et je dois dire que son intérêt pour moi me faisait tout de même plaisir.

Nyanyanya t’es casse pied toi, c’est pas une excuse, c’est la vérité ! Je suis pas comme tes amants, j’ai des sentiments d’amitié pour toi ! Puis eux ne savent pas que tu étais une petite terreur en primaire… »

Je savais que de la dire « mimi » allait l’énerver, surtout ajouter au mot femme au foyer mais que voulez vous? J’aimai bien me moquer d’elle. Non c’est vrai, c’était amusant de la voir s’énerver pour rien. Elle était franche et démarrait au quart de tour, ce que l’on appelle impulsive en réalité. J’avais parfois envie de lui mettre des claques mais je me contenta d’un sourire.

« Quoi? Bien sur que si tu le seras, t’auras quatre mouflets, ton mari sera partit jouer au casino, claquant l’argent de ta retraite. »

J’éclata de rire et lui ébouriffa les cheveux doucement. Vous imaginez sincèrement Baby-N comme ça? Non mais oh ! Elle déjà, vous l’avez jamais vu cuisiné, je dirais pas que c’est le néant mais presque, disons que ça a pas de gout et qu’en plus elle vous force à le manger parce que sois disant elle l’a préparée avec amour… Puis bon des fois…faut faire des sacrifices pour plaire à ses amis…

« Mais oh je rigole, tu prend vraiment les choses trop à cœur. On finira célibataire tous les deux et comme un vieux couple, on parlera des jeunes qui ne respectent plus rien sacré nondidiou. »

Bon voila, ça c’était fait, j’avais pas envie d’énerver ma petite chérie qui allait encore me faire la gueule quelques secondes avant de me demander de nouveau un massage. Enfin là, je meuble, je meuble parce qu’on en arrive au moment fort du topic, le moment inimaginable à mes yeux. Un truc que vous pensez impossible que vous voyez dans les films mais dont vous pensiez naïvement que dans la réalité on ne faisait pas ce genre de choses. Bon par compte, je venais de me rendre compte que c’était la première fois qu’elle voyait mon intimité et que pour le coup elle allait avoir le droit de la connaitre un peu plus. Bon je vais pas vous dire que c’est simple de parle de ça parce que bon, je suis un peu gêné quand même mais disons que moi je m’attendais à ce qu’elle s’arrête après les bisous dans le coup ! Ben même pas, elle avait été là ou personne n’était encore jamais aller et je me doutais vu ses automatismes que c’était quelque chose d’habituel pour elle. Disons que j’avais la chance de recevoir ma première gâterie par une femme d’expérience et cela était un peu gênant car elle savait exactement comment provoquer mon désir.

Vous imaginez ? Elle était en train de faire ça et en plus me jetait des regards assez sauvage du genre qui signifiait. « Ben t’attend quoi pour te défouler? ». Bon ok j’avais peut être un peu trop d’imagination mais vraiment c’était chaud ! Puis moi ba je comprenais pas vraiment disons que je gesticulais un peu sous le plaisir qu’elle m’offrait mais le fait de plaquer ma main sur la tête me remis en équilibre. Elle ne dit rien quand je fit ça, surement qu’elle appréciait et que c’est ça ce qu’elle appelle se comporter comme un homme. Elle continua avant de s’arrêter et de me faire un sourire et de me dire que ça faisait du bien, je la regarda un peu étrangement du genre euuuu pourquoi tu t’es arrêté? Non mais c’est vrai ça, moi j’aimais bien en faite. Oh ! Attention morbleu, il ne faut pas croquer la pomme que cette connasse d’Eve a filer à Adam. Je traitais pas mon amie, juste qu’à cause de cette fille on c’était fait fouttre dehors du jardin d’Eden… Bon je la regardais en esquissant un sourire.

« Plutôt oui, j’ai le souffle coupé ».

Bon j’allais pas lui dire que c’était divin et que la seule envie que j’avais eu était de la choper par les cheveux pour qu’elle reprenne immédiatement. Mais vous savez, ça c’est pendant paarce que maintenant, la raison revient au moment ou elle pose ses conditions. Baby-N a très bien joué son coup mais contrairement à ce qu’elle pense, elle a perdue. Pécher de gourmandise on appelait ça. Elle avait cru que ce genre de caresses pouvaient rendre un homme assez fou pour oublier ses principes mais elle oubliait que j’étais super Ji Sung et que demain j’allais revoir Seo Ok. Depuis le début j’avais penser que Seo Ok et son entretient déterminerai ou non ma façon d’agir. En tous les cas, Mi Hae, essaya de me faire céder, me demandant si je regrettait pas. Je ne répondit rien et me leva, lui prenant la main je l’allongea sur le canapé, en position sur le ventre. Pensait elle que je voulait faire des trucs par derrière? Non !!! Je me contenta de me mettre à califourchon sur elle et de lui masser le dos. Elle avait bien travaillée, elle méritait un peu de détente, je répondit alors à sa question tout en continuant de défaire ses nœuds.

« Non je ne regrette pas, tu m’as donné une excellente entrée en matière mais on s’arrêtera la pour aujourd’hui. J’ai besoin d’y réfléchir tu sais…Demain soir je te donnerai une réponse. Je suis désolé Mi Hae, j’ai franchement pas envie de te décevoir mais si je décide que je le ferait, c’est un homme convaincu qui viendra vers toi ! J’essaierai de te séduire cette fois… »

Bah oui….je repousse les choses, elle me croit inaccessible? Pas vraiment non, disons simplement qu’elle avait cassé la barrière qui me retenait prisonnier de mon désir. Bien sur que j’en avais envie mais mon esprit me disait qu’il fallait que je puisse juger Seo Ok avant de prendre une décision. Si je tombais sur une femme douce et calme, Mi Hae n’aurait pas ma première fois. Si elle était joueuse et extravertie, il fallait que je reçoive la formation adéquate pour ne pas devenir l’un de ses jouets. Je me sentais vraiment pas bien pour Mi Hae mais elle savait au fond d’elle que finalement elle n’aurait plus beaucoup a attendre vue que contrairement à moi, elle connaissait la réputation sulfureuse de la directrice d’image et que pour la première fois j’avais pris une décision d’homme. Je continua à la masser et murmura doucement.

« Ta peau est vraiment douce, c’est tellement agréable de te masser. J’espère que ta pas été déçu par eu…Ce que j’ai entre les jambes. Je connais pas tes critères de jugement ! »

J’esquissa un sourire, cette remarque n’avait pour but que de réchauffer l’atmosphère et de ne pas laisser le tout dans une ambiance un peu…étrange. Mes mains parcouraient les épaules de la demoiselles, essayant de lui rendre le plaisir qu’elle m’avait offert il y a quelques minutes. Je déposa alors un baiser dans son coup et repris. C’était la première fois que je la massais allongé, habituellement elle se contentait de s’assoir, cette fois ci j’allais m’occuper d’elle encore mieux, parole de Kiné !

Mais c’est qu’elle veux pas me répondre la garce, ok j’abandonne pour cette fois mais ce n’est que partie remise, je ne lâcherai pas l’affaire. Je le saurai un jour ou l’autre et elle me racontera tout ça avec les détails et devra même mimer les actions ! Non mais oh faut faire parfois comprendre aux femmes qui c’est le patron quand même ! Enfin bon, elle déclara qu’elle terminerait célibataire. Oui surement avant de faire sa crise de la quarantaine et d’aller se chercher un mec de 18ans en Malaisie. Elles sont toutes comme ça, juste avant la ménopause elles se rendent compte qu’elle ont oubliés de faire un truc de femme : le bébé ! Ben oué après elles vous parlent de vie gâchés aux moment ou leur poitrine tombe et que les premières rides creusent leur visage. Puis viens la cellulite, la peau d’orange enfin tout ces trucs là, la femme ne rêve alors qu’à se faire refaire complètement et ça recommence dix ans plus tard. Ça dégoutait un peu des célibataires endurcit non? Moi j’avais la chance de la côtoyer au moment ou elle rayonnait le plus, elle venait à peine d’atteindre un quart de siècle, vous vous rendez compte? Ça nous rajeunit pas tout ça. Enfin bref, j’esquissa un sourire et parut choqué !

« Han ! Et si tu tombes sur un milliardaire? Tu te maris pas? »

Ben oué je connais assez baby-N pour savoir qu’elle rêve à une autre vie que celle la ou elle serait adulé, chouchouté et drapé dans la soie. Bon après serait elle capable de tenir sans changer de mecs tous les jours? C’était mal barré ! En faite il faudrait bien un moment ou elle aurait à choisir entre les deux quoique si elle devenait célèbre, elle pourrait continuer ainsi et profiter seule de son argent. Mais là n’est plus la question car notre amie était tout de même vachement douée pour faire ce genre de choses, c’est en forgeant qu’on devient forgerons, je veux bien mais à ce niveau ça dépasse l’entendement. Enfin c’est ma première fois mais ça ressemblait plus à un film interdit aux moins de 18ans avec un super casting qu’à un film amateur polonais. Mais bon, elle alla pas jusqu’au bout et c’était plutôt normale vue que sa seule envie était que je prenne ce qui m’appartenais, c’est-à-dire son corps. Pas de bol pour elle j’étais pas comme ça et quand je lui expliqua mes raisons tout en l’allongeant, elle comprit rapidement que cette fois j’avais pris une décision. Le genre de truc auquel vous vous accrocher et que vous décidez de faire à 800%; Mi Hae était compréhensive et je savais qu’elle ne m’en voulait pas. Puis même sa remarque me fit plaisir, je lui répondit doucement.

« Merci Mi Hae, oui je pense que c’est la meilleure solution. »

J’esquissa un sourire avant de lui demander avec un certain amusement.

« Combien t’ont déjà dit non après que tu leur est fait ça ? »

Ben oué je détend un peu l’atmosphère parce que je connais déjà la réponse. C’est totalement impossible de refuser, sauf quand vous êtes un peu con come moi. En tous les vas, je la massais doucement, je ne défaisait plus rien là car son dos était désormais parfait, j’attrapa une bouteille d’huile parfumée que j’étala sur mes mains avant de les poser de nouveau dans son dos, la massant avec douceur et sensualité. Bon c’était la première fois que je lui faisait ça mais en même temps c’était la première fois qu’elle c’était autant mise à nu pour moi. Allez ça méritait bien une petite récompense pour l’avoir autant blesser dans sa fierté et que finalement elle soit toujours là. Mes mains s’appliquaient sur sa peau alors que j’écouta attentivement ce qu’elle me disait. E fahi m’étouffer. Ok pour la taille ça me faisait plaisir mais alors je comprenais pas pourquoi elle était étonné. Elle s’imaginait que je nourrissais un complexe du fait que j’avais un truc tout petit? Ben non pas vraiment, je manquai d’assurance mais cela n’avait rien avoir avec la taille. Je savais pas trop quoi répondre mais bon, je lui demanda tout de même une explication.

« Pourquoi tu étais étonné? Tu t’attendais à quoi? »

Quand elle me parla de ma réponse du lendemain, je déposa mes lèvres sur son dos, déposant quelques baisers jusqu’à son coup avant de lui mordiller le lobe de l’oreille et de lui susurrer à l’oreille.

« Ai-je déjà manqué à ma parole par le passé? »

Alors oué vous me direz ce que j’avais fait était très sensuel mais c’était un collègue masseur qui faisait cela pour draguer et ça marchait plutôt bien. J’avais jamais osé mais bon, là l’occasion était trop belle, je me sentais différent presque fière d’avoir été capable de combattre le désir et surtout d’avoir été capable de prendre une décision. Je me remmis tout droit, ben oui j’allais pas rester deux heures contre son oreille ! Puis je repris mes massages avec douceur. Je lui demanda alors.

« Allez dis moi tout ce qui ta passe par la tête, tu sais que j’adore t’écouter parler! »

Et voila on était revenu au point de départ sauf que cette fois elle avait un massage digne d’une princesse et que j’avais pris un peu plus confiance en moi. Finalement Baby-N est vraiment une super amie !

Son indépendance, oui on pouvait voir les choses de cette manière la, celui qui lui passerait la bague au doigt n’est pas encore née à ce que je pense. Le soucis avec elle c’est que j’avais envie que quelqu’un la protège comme je le fait tous les jours, on sait jamais, demain je peux me faire renverser par un héroïnomane sur son scooter, ou bien m’exiler au Bahamas à cause de problèmes avec la mafia, on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve. Enfin j’aimais bien l’entendre parler d’indépendance quand justement on connaissait sa dépendance pour le sexe, c’était presque sa raison de vivre, et clairement ce qui rendait sa vie si agréable. Enfin, Gainsbourg avait bien dit « La vie ne vaut d’être vécue sans amour ». Il faudrait qu’un jour, elle aussi, elle s’en rende compte. Enfin bon, d’un certain côté ça me flattait d’être la personne la plus proche d’elle, un peu comme son petit ami, le plaisir corporel et la douceur d’un couple hormis. Ben oui même si elle n’était pas méchante avec moi, elle avait toujours son petit caractère qui finalement me plaisait bien.

« Tu me surprendras toujours, pourquoi tu fais jamais rien comme tout le monde? Tu décapitais tes Barbie quand t’étais petite ou quoi? »

Puis le coup des remerciements me ramena à la réalité, elle était vraiment comme ça et ne supportait pas ce que je qualifierai de « neuneutisme » mais que les gens appellent la franchise et les paroles qui servent à rien. Le soucis c’est que moi j’étais sincère et je lui était vraiment gréer de me comprendre. Après tout, je n’en attendais pas moins d’elle, nous étions peut être différent sur toute la longueur mais depuis le début on arrivait à comprendre l’autre et à l’aider dans ces problèmes. Bon là, c’était pas vraiment un problème mais plutôt une question existentielle mais bon, il fallait de tout pour faire un monde. Je lui caressa les cheveux, les ébouriffants quelques peu histoire de la rappeler à la réalité. Oui c’est moi Ji Sung et je m’excuse tout le temps tu ne me changeras jamais. Je répondit très ironiquement.

« Oh oui, c’est une vilaine Mimi Hae, ni dieu ni maitre, wouhou fuck the system! »

Mais non je me fout pas de sa gueule, je suis toujours comme ça quand elle devient trop sérieuse, je suis un gros gamin parfois mais le plus souvent ça évite que le climat devienne froid et qu’on ne fasse que se regarder entre quatre yeux. Elle était mignonne à toujours vouloir se donner des allures de femme fatale même avec moi. Enfin bon, c’est vrais qu’elle essayait de me séduire aussi. Mais en tout les cas, ce fut ce qu’elle déclara par la suite qui me choqua. Alors comme ça Baby-N avouait parfois qu’elle avait tort? Non c’était pas arrivé depuis le temps que l’on se connait et ça doit bien faire plus de dix ans. Et ba…J’étais sur le cul, dommage que ce soit au sujet de ce que j’avais entre les jambes, chose assez puéril en faite. Je réalisas une chose, la première c’est qu’elle me surprendrait toujours et c’est pas la première fois que je le dit, la seconde c’est que déjà elle voulait coucher avec moi pensant que j’avais un tout petit machin mais maintenant qu’elle sait que c’est beaucoup plus gros qu’elle ne l’avait imaginer, elle risque d’être encore plus insistante pour que l’on couche ensemble. Bon après tout c’est agréable d’être désiré au moins une fois dans sa vie, par une jolie femme qui plus est même si c’est ma meilleure amie.

« Ben en même temps tu aurais pu le voir avant mais tu jouais jamais au docteur avec moi quand on était gosse. Tu préférais surement soigner les gros bobos des autres garçons, avec moi tu jouais au gendarme et au voleur et j’arrivai jamais à t’attraper. En y repensant c’est comme ci ce jeux avait continué pendant des années avant que la voleuse ne décide de se rendre et d’offrir son plus beau trésor au policier qui ne l’attendait plus. »

Mais qu’elle métaphore, parler de la taille de ce que j’ai entre les jambes pour dévier sur l’attirance que j’avais eu pour elle pendant toutes ces années et en concluant par son envie désormais de coucher avec moi. J’étais un vrai poète parfois et je devrai carrément écrire des chansons et piquer la place de Mi Hae. Ce qui me faisait rire c’était quand elle devait écrire une chanson d’amour, bizarrement ça se finissait toujours très mal. Enfin, cela faisait longtemps que je n’avais pas lu les paroles de chansons qu’elle écrivait pour la JRM. Après tout, elle avait peut être changé mais je la voyais mal s’aligner sur le système qu’on lui aurait imposé, d’un certain côté je la considérais comme une anarchiste des temps modernes et ça me faisait marrer. En tous les cas, Baby-N semblait vraiment sérieuse au sujet du délais de réponse que je lui avais demandé. Si je le faisait pas demain, elle me tuais. Bon à vrais dire, je ne revenais jamais sur ce que je disais et il était certain que je lui donnerai ma réponse. Soit en venant la voire dans son bureau si je termine pas trop tard, ou bien en allant directement la voir chez elle. C’était à moi de venir et pas à elle car je l’avais prévenu que c’était ma décision. Je savais qu’au fond d’elle, elle était conte et même fière que je sois capable de lui dire non même si elle s’en rendait pas vraiment comte. Après tout, si je me donnais à elle, sa satisfaction serait encore plus grande et je peut être sure qu’elle en profiterai à fond, ne me laissant pas sur ma faim comme elle l’avait fait aujourd’hui. Je continuais à la masser avec douceur et calme, étalant de l’huile sur ses épaules. J’imaginais que ce devait être un calvaire pour elle car je me montrais très sensuel. En faite j’avais envie de faire monter le désir en elle pour qu’elle ne me ressorte plus ses sempiternelles phrases sur la confiance et tout le reste. L’huile est quand même quelque chose de magique tant elle fait lui la peau, la rendant encore plus douce. Bon bien sur, avant cela je lui avait enlevé sa veste parce que bon ça tache l’huile et qu’après elle aurait gueuler, puis bon pour masser c’est quand même mieux sans. Enfin bon, je ne m’occupais que de son dos hein, l’avant c’est que des les films érotiques hein !

Bon forcement quand elle me demanda si je voulais savoir ce qu’elle avait dans la tête, je répondit par un sourire qui signifiait clairement que oui mais la réponse me fit rire. Elle ne lâchait vraiment pas l’affaire, au moins elle était sincère et je me disais que peut être mon opération « désire moi » avait fonctionné, je lui répondit doucement.

« Tu sais que si demain je dis oui, tu passe à la casserole, que tu le veuilles ou non. Ta intérêt à mettre tes plus sous vêtements ! J’ai pas envie que tu te fasse mater par les vieux pervers de l’agence puis bon..C’est plus agréable de redécouvrir les choses tu ne penses pas? »

Enfin elle avait parlé de positions très intéressantes, eu elle savait que je l’avais jamais fait et que ma première fois ne durerai pas si longtemps, je compris alors qu’une fois que j’y aurais gouté, elle ne me lâcherai plus jusqu’à ce que je devienne réellement un homme. Ou tout du moins que je réalise mon souhait d’être enfin avec Lee Seo Ok..

« Vaste programme…Tu va ressortir ton uniforme de lycéenne du placard? »

Le fantasme ultime de tout mec, c’est un peu con mais c’est souvent comme ça, ça nous rappelle nos vertes années ou on était capable de le faire trois fois dans la journée. Enfin eu…j’avais pas connu ses années là mais c’était des sociologues reconnus qui le disait. Enfin faire une étude sociologique du rapport entre les hommes et les uniformes, faut vraiment avoir rien d’autre à foutre.

HRP : Je te laisse clore le topic !