Tokyo, c'est le genre de personne qui aligne les c*nneries vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il fait absolument tout n'importe quand &surtout quand ça l'arrange. Personne ne peut l'arrêter, car lorsqu'il commence quelque chose – que ce soit bon ou mauvais – il le fait jusqu'au bout quoi qu'il arrive. Cela peut être avantageux, ou non. C'est ce genre de personne qui malgré le fait de vouloir faire que ce qui l'arrange, est aussi doux et câlin. Ses amis sont une fortune pour lui, de l'or pur et il fait tout, oui absolument tout, pour les rendre heureux. On peut tout demander à Tokyo J., car il fera tout ce dont son ami veut. Soumission ? Non, pas tant que ça. Il sait faire la différence entre gentillesse et profit. Tokyo est loin d'être paresseux, c'est même celui qui doit secouer toute une troupe pour sortir et le pire, c'est qu'il y arrive. Il est toujours tenté à faire de nouvelles expériences, à s'amuser, sortir, bouger. Il ne perd jamais une occasion d'aller courir, de faire son jogging, de danser, de chanter. Car oui, il danse. C'est quasiment toute sa vie pour lui. Depuis l'âge de douze ans, il enchaine des auditions de danse, il fait tout pour percer dans ce domaine. Tokyo est quelqu'un qui quand il veut, il peut. C'est aussi quelqu'un extrêmement drôle qui hait voir les gens tristes. Il n'est pas souvent en train de déprimer, car au fond, Tokyo est comme l'exemple type de la joie de vivre. Il aime tout ce qui est beau, tout ce qui est brillant ≠ supporte pas quand les gens sont énervés pour de futiles choses. Malgré tout, Tokyo peut être relativement énervant. Il ne sait pas se contrôler et parfois, il lui arrive de déraper. Ce peut être agaçant, oh oui. Il ne sait jamais ce qu'il dit et souvent, lorsqu'il commence à faire la moral aux autres, il devient presque blessant. Il ne se retient pas pour dire ce qu'il pense &oui, il dit les choses tout haut ce que les gens pensent tout bas. Ce peut être frustrant, mais il assume ce qu'il est jusqu'au bout. C'est une personne qui est aussi capricieux. Si on ne va pas dans son sens, il peut se perdre et commencer à vous envoyer sur les roses. Il veut, non il exige d'avoir sans cesse raison. Énervant ? Ouais, avouons. Mise à part tout ça, c'est un grand ami des demoiselles, il s'entend bien avec elles. Il n'est pas ce genre de garçons qui font les durs entre mecs et qui ne savent pas placer un mot devant une fille. Il peut être leur confident mais pour les relations amoureuses, il n'a jamais été stable ou bien ça n'a jamais tenu plus d'une semaine. Il ne souhaite peut-être pas s'engager, voyons. Et en ce qui concerne sa sexualité, certaines personnes pourraient penser qu'il est totalement gay, alors que pas du tout. Quoi qu'il pourrait avoir des penchants pour les hommes mais ça en reste à un hétéro, un pur et un vrai. Oupas. Tokyo est généreux, ooh que oui il l'est et beaucoup trop de personnes en profitent, mais il est aussi légèrement aveugle ≠ voit pas souvent quand les gens autour de lui souhaitent profiter ;il se laisse faire et se rend compte bien souvent trop tard des faits. Mais une chose est sûr, c'est que si on fait du mal, ne serait-ce qu'un petit peu à Monsieur Hwang, il vous le fera payer. Et courrez, vous avez de quoi avoir peur. Ne supportant pas la médiocrité, et le profit, il peut vous faire regretter d'avoir essayé de l'amadouer.

La Suède, ça c’est du pays, ooh oui. La naissance de Tokyo fut là-bas, dans un énorme hôpital aux alentours du centre ville, dans la capitale de la Suède ;Stockholm. Ce fut, soi-disant, un jour merveilleux. Son père n’était pas vraiment attentif à l’arrivée du bébé, il se promenait dans les couloirs de l’hôpital côté maternité, une tasse de café à la main comme pour essayer de se refiler de l’énergie ni plus ni moins. De son côté, la mère du futur petit enfant (ouais, parce qu’il n’était pas grand..) était entrain de lancer la ‘chasse au bébé’. Ce fut au bout de quelques heures, oh non j’abuse, que Tokyo naquit. Son père ne s’était pas rendu compte de l’événement et malheureusement, il ne put filmer l’événement et d’un côté, tant mieux, car il jouait déjà la réputation de leur fils rien qu’avec ça. Que dirait sa futur petite-amie en apprenant que les parents de Tokyo l’avait filmé entrain de naître ? o.o Flippant, sérieux. Bref. Le prénom Tokyo ne vint pas tout de suite, car en vérité, la mère du petit souhaitait appeler son fils d’un nom suédois pour que ça donne un souvenir avenir de l’endroit où il naquit. Puis finalement, son père à lui était complètement fan – voir même accro de la capitale du Japon. Preuve ;il y allait toutes les années, et pas pour voir de la famille, rien de tout ça non. Il y allait pas plaisir purement personnel, et souvent c’était pour y aller seul. Il aimait y faire un tour une fois par année et revoir sa belle et ancienne ville. Souvent, c’était pour revisiter encore et encore la capitale et pour séjourner dans ces beaux hôtels. Le hic, c’est qu’au retour de chaque voyage, il y avait quelque chose qui n’allait pas avec sa femme. Jusqu’au jour où pour Noël, au retour d’un voyage qu’il n’oublierait sans doute jamais – car ce voyage fut mémorable, surtout qu’il avait rencontré une femme avec qui les journées qu’il passait étaient magnifiques et qu’avec elle, tout allait pour le mieux. Oui, il avait trompé son épouse mais pour lui c’était un gros « Et alors ? » Parait-il que ça se faisait dans ce temps-là – Kemiya annonça à son mari qu’elle attendait un enfant. Depuis ce jour, tout avait été forcément difficile, mais lui gardait la tête froide et avait gardé toutes ses ‘aventures’ pour lui, du moins jusqu’à l’arrivée de leur enfant.

Ensuite, après la naissance de Tokyo Jin, les parents de ce dernier divorcèrent ;sa mère avait compris tout ce que son vieux mari trafiquait et avait de suite demander le divorce. Tokyo était extrêmement jeune, enfaîtes, il n’avait que deux ans. Comment comprendre ? C’était comme si son père n’avait plus vraiment existé. Et justement, celui-ci déménagea et partit loin, ooh oui très loin rejoindre sa nouvelle femme. Forcément, après un départ, on oublie combien ça fait mal, surtout si on a deux ans et qu’on sait seulement dire « Mami, boubou couka ». C’était en grandissant que Tokyo comprit combien les choses devenaient de plus en plus dur.

À l’âge de quatorze ans, il quitta la Suède pour se rendre à Séoul, la ville natale de son père. A la base, ce n’était pas pour se souvenir de lui, rien de ça, c’était juste pour prendre un nouveau départ. Sa mère souffrait encore du départ de son mari et ne pouvait plus supporter la froideur de Stockholm qui lui rappelait constamment le temps qu’elle s’était faite trompée. Alors pour finir, elle s’offrit à la Corée du Sud et partit avec son très cher enfant. Le seul et unique qu’elle avait eu, et pourtant ça ne changeait rien des autres familles. Elle ne le gâtait pas énormément, elle ne le remplissait pas d’un plus grand amour qu’en général, elle le traitait juste comme son fils ;avec de l’amour, ça va de soi, mais pas comme un roi, loin de là. Kemiya n’avait pas les moyens de tout offrir à son petit et elle ne voulait pas faire de lui un enfant pourri gâté comme on peut en voir dans ces films d’adolescents stupides pour adolescents stupides. C’était quasiment ironique. Alors à quatorze ans – jeune âge encore – ils quittèrent cette belle et magnifique ville.

A seize ans, ce fut l’âge qui fit presque tomber Tokyo. Il ne faisait rien comme les autres, loin de là. Pour lui, rien ne comptait ne serait-ce que la musique, la danse &les sorties. Il ne voyait rien d’autres. Les cours ? Il n’y allait pas et en ce qui concerne ses fréquentations, elles furent relativement médiocres. Il faisait tout de travers et le pire était que pour lui, ça n’avait aucune importance. Et alors, de toute manière, c’était l’âge bête avec deux ans de retard. Tokyo se lançait dans d’abominables choses ;il avait l’habitude de se faire un petit joint le matin et de finir avec une raille de coke dans la soirée pour ensuite s’endormir à huit heures du matin et recommencer à quatre heures de l’après-midi. C’était devenu son quotidien à lui et sa mère avait beau tout dire pour lui faire renoncer cette vie-là, il continuait comme si ne rien était. De toute manière, il s’en fichait, rien n’y faisait, il ne lâchait pas l’affaire. Pour lui, tout ça, c’était important. Les mauvaises fréquentations ;des gamins qui vendaient de la drogue, des soirées dans des clubs de strip-tease, absolument tout ce qu’un pauvre gars de seize ans ne doit pas faire. Le jour où son père le recontacta, tout dérapa. Il se calma. Ils avaient longuement discuté, ils avaient versé des larmes, ils avaient crié, ils avaient aussi chanté, ils avaient rigolés, ils avaient tout fait. Mais ça s’arrêtait là, c’était juste pour une seule et unique fois. De plus, Tokyo ne souhaitait pas avoir plus d’affinités que ça avec l’homme qui l’avait abandonné. Oh non, jamais. De plus, ça ferait trop de mal à sa mère qui était déjà bien malheureuse comme ça.

Désormais, à vingt ans, les bêtises c’est loin derrière. Tokyo fait la différence entre le bien et le mal et les études continuent dans une école artistique afin de s’améliorer en chant et danse qui ne l’oublions pas, sont les choses primordiales dans sa vie. Son caractère a évolué, tout autour de lui à évoluer &lui aussi, en passant. Il n'a jamais parlé de son passé &à oublier toutes ses anciennes fréquentations. o.o Il ne parle absolument pas de tout ce qu'il faisait avant et ne souhaite jamais en réentendre parler une seule et unique fois. Jrm Entertainment est quelque chose d'essentielle pour lui ;quelque chose qui lui fera sans doute avancer dans la vie. (a) Il souhaite faire parti d'un groupe de musique et pouvoir réaliser ses rêves malgré toutes les difficultés. Car pour lui quand on veut, on peut y arriver peu importe le prix que cela peut côuter.